lundi 7 janvier 2019

9b. Pullum, G.K. & Scholz BC (2002) Empirical assessment of stimulus poverty arguments

Pullum, G.K. & Scholz BC (2002) Empirical assessment of stimulus poverty arguments. Linguistic Review 19: 9-50 



This article examines a type of argument for linguistic nativism that takes the following form: (i) a fact about some natural language is exhibited that al- legedly could not be learned from experience without access to a certain kind of (positive) data; (ii) it is claimed that data of the type in question are not found in normal linguistic experience; hence (iii) it is concluded that people cannot be learning the language from mere exposure to language use. We ana- lyze the components of this sort of argument carefully, and examine four exem- plars, none of which hold up. We conclude that linguists have some additional work to do if they wish to sustain their claims about having provided support for linguistic nativism, and we offer some reasons for thinking that the relevant kind of future work on this issue is likely to further undermine the linguistic nativist position. 

3 commentaires:

  1. Cielo 9b
    La pauvreté de stimulus : même si certains linguistes ont livré des arguments au fait que le langage soit appris par des structures grammaticales cognitives, les sciences cognitives le croient plutôt le résultat de capacités innées. Après avoir lu leurs explications (Pullum et Scholz, 2002), je crois que la seule chose qui sépare les humains de la machine, dans le sens de l’apprentissage d’une langue, c’est l’expérience. Mais l’explication causale des capacités des humains dans l’apprentissage du langage, je crois, nécessite de mieux comprendre les limites de la grammaire selon les linguistes, ce qui faciliterait le point de départ de la rétroingenierie de ces capacités. À mon avis, la pauvreté de stimulus chez les humains diffère de celle des animaux. Ces derniers reçoivent des récompenses lors de la communication tandis que les enfants le font de façon spontanée. Donc, des capacités innées pourraient expliquer que le langage existe déjà dans nos cerveaux et qu’elles doivent être activées par des structures grammaticales linguistiques finies qui fonctionneraient comme les algorithmes en computation. C’est-à-dire, le cerveau humain nécessiterait seulement une certaine quantité de mots pour pouvoir construire des expressions linguistiques infinies. Mais on peut se demander si l’apprentissage du langage est le même pour l’enfant en langue maternelle et pour l’adulte en langue seconde…

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    1. Les animaux non humains ne parlent pas. Ils communiquent, mais ils ne parlent pas.

      Les humains apprennent la langue. Ce n'est que la capacité (et la motivation) de l'apprendre qui sont innées.

      La pauvreté du stimulus concerne les règles syntaxiques de la grammaire universelle (GU). La grammaire ordinaire (GO) ainsi que le vocabulaire s'apprennent. Ce n'est que la GU qui ne s'apprend pas: Pourquoi?

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  2. Chomsky explique que les enfants s'exprime (grammaticalement) de bonne facon malgré ne pas être exposé a ses phémomènes pour une longue durée se qui sous entend qu'une lnague ne peut que se faire par l'apprentissage. Il déduit cela par le fait que les enfants produisent leur première phrases de facon déclaratif même si leur environnement parle de facon impérative et intérrogatives. Dans le but d'aquérir une langue, les enfants, l'informations qui déteint sur eux, se voit modifié une règle pour pouvoir s'adapté a une situations (selon les énoncés grammaticaux). Mais, cela ne serai pas assez pour pouvoir généré de tel règles, d'ou Chomsky pense qu'il y a une capacité inné qui déteint ses règles sur les énoncés formés. Sans affirmer que ses données ne sont accessibles aux enfants(se qui est faux voir les bases de donnés), il se doit que cette théorie a la capacité de démontrer des données numérique.

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