lundi 7 janvier 2019

6a. Harnad, S. (2005) To Cognize is to Categorize: Cognition is Categorization

Harnad, S. (2005) To Cognize is to Categorize: Cognition is Categorization, in Lefebvre, C. and Cohen, H., Eds. Handbook of Categorization. Elsevier.  

Le Martien, les champignons et les réseaux de neurones

S HarnadA Cangelosi, M Coulmance - 2003
We organisms are sensorimotor systems. The things in the world come in contact with our sensory surfaces, and we interact with them based on what that sensorimotor contact “affords”. All of our categories consist in ways we behave differently toward different kinds of things -- things we do or don’t eat, mate-with, or flee-from, or the things that we describe, through our language, as prime numbers, affordances, absolute discriminables, or truths. That is all that cognition is for, and about.

Borges: Funes le mémorieux

PPT 2019:





SEMAINE 5 2018


Catégorisation I.



Catégorisation II.




résumé langue anglaise:




Cours ISC1000 2017

Cours ISC1000 2016 1:


Cours ISC1000 2016 2:


Cours ISC1000 2016 3:


Cours ISC1000 2016 4:

22 commentaires:

  1. La perception visuelle est sélective. Si nous percevions tous les objets dans notre environnement sans en déterminer leurs utilités, nous nous retrouverions dans la même position que Funes le mémorieux. Par exemple, supposons que nous étions abandonnés dans une forêt équatoriale, entourés de plantes inconnues. Nous serons en mesure de percevoir leurs attributs physiques (par ex., leur forme, leur taille, leur couleur et leur orientation) et leurs positions spatiales (afin de ne pas les piétiner). Cependant, sans aucune autre information, nous ne saurions si ces plantes servent de culture vivrière ou de culture de fibres, ou des deux.

    En outre, Harnad nous présente deux approches de la perception visuelle. Les « affordances » font référence aux interactions fournies par les objets environnementaux à un organisme capable de les percevoir directement. Donc, lorsque nous serons présentés avec une chaise, de l’avis de Gibson, nous verrons qu’un tel objet nous permettrait de nous assoir, et ce sans avoir à catégoriser le meuble au préalable. La catégorisation, en revanche, est apprise. Ainsi, la fonction d’une chaise ne serait récupérée de mémoire qu’après avoir été catégorisée. De ce fait, nous pouvons conclure que la cognition est la catégorisation.

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    1. Les affordances sont des propriétés (comme la couleur ou la forme) sauf qu'elles sont sensorimotrices, incluant et les propriétés sensorielles et les actions motrices envers les objects qui ont ces propriétés sensorielles.

      Apprendre une catégorie s'est trouver (consciemment ou inconsciemment) les propriétés qui distinguent les membres des non membres.

      Il peut y avoir des catégories qui sont innées (donc on a déjà un capteur des propriétés qui distinguent les membres des non membres). Mais la plupart de nos catégories sont apprises.

      Pour apprendre une catégorie il faut essayer à catégoriser ( « faire la bonne chose avec la bonne sorte de chose » ) par essai et erreur, avec la correction des erreurs. Il faut goûter les champignons, voir si ça nous nourrit ou nous fait vomir. ( « Apprentissage supervisé, ou renforcé » )

      Mais si les différences entre les membres et les non membres sont assez énormes, on peut catégoriser sans supervision/renforcement: blanc vs. noir, montagnes vs. vallées, si ça saut aux yeux.

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  2. Donc, la Catégorisation c'est de faire la bonne chose avec la bonne chose, comme présentée en classe pour le frère cadet, mais aussi toutes actions qu'un organisme capable d’adaptation sensorielle porte à l'égard de son environnement sous forme d'interactions non arbitraires.
    Vous spécifiez qu’une catégorisation ne survient pas en fonction d’un input mais bien en fonction d’un input particulier, et de ce fait il y aura une catégorie d’ouput particulière. Ce principe est, à juste valeur, intimement lié à l’apprentissage, car un organisme adaptatif est capable de générer plusieurs inpout sur son environnement et d’évaluer les ouptut qui seront bénéfiques grâce à une certaine rétroaction, soit la technique d'essais/erreurs. Ainsi, l’apprentissage se fait en majeur partie grâce à la catégorisation, la distinction entre ce qui est et ce qui n’est pas, tout autant qu’ils soient facilement distinguables. Certaines catégories semblent être innées, apprise intrinsèquement grâce à nos facultés sensorimotrices, mais on suppose que la grande majorité est apprise; leurs affordances nous renseignent sur leurs catégories et guident l’action inconsciemment.

    ***Je voulais revenir rapidement sur Turing et le computationnalisme. Lorsque vous dites que Turing n’était pas computationnaliste, est-ce simplement puisqu’il n’a pas présenté son test et sa machine comme étant la réponse de la cognition?

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    1. Une catégorie c'est une sorte de chose: un ensemble qui a beaucoup de membres.

      Turing n'était pas computationnaliste parce qu'un robot (T3) est nécessairement hybride: Ni la sensation ni le mouvement n'est computationnel. Nous sommes des T5.

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  3. Il existe deux types d'apprentissage: direct, par essais et erreurs, ou indirect, en se basant sur l'expérience des autres (le ouï-dire).
    La connaissance est l'information qui permet de catégoriser. Elle s'acquiert grâce à l'appareil sensori-moteur. À cela s'ajoute le langage, qui permet de mettre un nom arbitraire sur chaque catégorie pour pouvoir la désigner. Ce nom est un symbole.
    Grâce au langage, je peux transmettre ma propre expérience aux autres, et inversement. Quand j'étais jeune, des personnes plus expérimentées m'ont expliqué quelles expériences étaient dangereuses et pouvaient me tuer; ainsi, je n'ai jamais eu besoin de manger moi-même des champignons vénéneux pour savoir qu'ils étaient mortels.
    (Pourquoi l'espèce humaine est la seule à avoir développé un outil aussi élaboré, qui permet de s'affranchir du côté mortel et dangereux de l'apprentissage par essais et erreurs? L'espèce humaine n'est pas la plus ancienne, alors pourquoi est-elle, de ce point de vue, la plus évoluée?)
    Il est à noter que la connaissance peut être innée. Le chat va se mettre très vite à chasser des souris, sans avoir besoin de définir au préalable ce qui est une proie et ce qui n'en est pas.


    Est-ce que l'espèce humaine serait capable de survivre, sans le langage? Est-ce que, comme les chats, nous serions capable de distinguer d'un coup d'œil ce qui se mange et ne se mange pas, ou est-ce que nous finirions tous par mourir empoisonnés par des champignons?

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  4. Sur le powerpoint :
    Y a-t-il une prévalence du concept sur l’empirique dans la mesure où pour manipuler l’environnement extérieur, il me faut d’abord nécessairement catégoriser la sorte de chose dont il s’agit avant de savoir quoi en faire ? Ou y a-t-il prévalence du système sensorimoteur, et donc de l’expérience, puisque « the sensorimotor contact affords some kind of interactions and not others ». Autrement dit la forme du monde tel que je le perçois est-elle structurée avant tout par ces contacts ?
    Si on prend comme angle de vue l’apprentissage, il semble que la catégorisation ait une importance première, puisqu’on apprend à ordonner le monde grâce à l’output qui sort régulièrement de mes contacts avec le monde extérieurs.
    En ce cas, est-ce que catégorie serait un terme moins vague et moins « philosophique » que concept, utilisé dans la littérature selon un sens pragmatique de « manipuler le monde » ?

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  5. Sur le martien, les champignons et les réseaux de neurones :
    Est-ce que la distorsion/dilatation de notre perception catégorielle ne serait pas justement une source d’erreur pouvant compromettre la perpétuation d’une espèce, puisqu’à soustraire certaines différences, peut-être que des discriminations importantes sont oubliées dans notre catégorisation d’un phénomène ? Est-ce qu’on pourrait expliquer l’origine de la violence, qui somme toute est un danger pour la survie d’une espèce voire entre espèces, par le fait que dans les perceptions que j’ai du comportement d’un autre, je viens à catégoriser comme dangereuses des actions que j’aurais compressées/dilatées ? Réagissant de la même manière que moi, peut-on expliquer un affrontement inutile par le fait que deux individus réduisent la perception qu’ils ont de leur espace à une nécessité de le dominer, alors qu’il existait une palette de compréhensions différentes et moins nocives ?

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  6. La perception catégorielle n’est pas la même chose que la catégorisation. D’après ce que je comprends, la perception catégorielle est innée tel que la perception des catégories de couleur et les musiciens qui ont l’oreille absolue. Alors que la catégorisation peut être apprise par essai-erreur, par ouie-dire et de façon implicite.

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  7. En tant qu’”organisme sensorimoteur”, nous interagissons avec ce qui nous entoure grâce à l’information perçue par nos sens. Nos sens nous permettent de percevoir ce que nos capteurs sensoriels nous permettent de capter; les informations qu’on a les moyens d’obtenir grâce à eux. Dans la langue anglaise, on pourrait ainsi dire: “ our senses perceive the information they can afford to perceive”. Et c’est probablement le principe sur lequel s’est basé le psychologue James J. Gibson lorsqu’il a inventé le terme “affordance”. L’affordance est la relation entre un organisme sensorimoteur et un objet, lorsque l’organisme a une interaction motrice avec cet objet, et que cette interaction motrice est réalisée grâce à l’information que ses capacités perceptives lui permettent d’obtenir sur cet objet. Les comportements alors exécutés en relation avec l’objet ne sont pas aléatoires: l’information peut nous permettre de faire la bonne chose avec la bonne sorte de chose (en réduisant l’incertitude par rapport à la nature de cette dite sorte de chose, et ce qu’il faut faire avec). Mais encore faut-il savoir classer une chose comme appartenant ou non à une certaine ”sorte” de chose pour rendre toute cette information utile. C’est là que la catégorisation entre en jeu. Sans la catégorisation, il n’y a pas de choix différentiels quant aux actions possibles face à un objet. On doit savoir à quoi on a affaire pour savoir quoi faire. Et, à moins que cette catégorisation des éléments perçus dans notre environnement soit innée (comme c’est le cas de notre perception catégorielle des couleurs), il faut pouvoir apprendre pour catégoriser… Mais surtout être capable de catégoriser pour apprendre. Car pour apprendre, on doit savoir quelle information est relative à quoi, sans quoi nous ne pouvons que rester passif devant le déferlement perceptif sans aucun sens que représenterait pour nous la vie.

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  8. Est-ce que le fait d’apprendre des catégories à un impacte sur la perception? En effet, la langue définit la catégorisation et de ce fait il peut y avoir des nuances dans la description des catégories. La forme d’apprentissage soit par essai et erreur ou l’apprentissage par la démonstration de son contraire. Pour commencer, l’apprentissage par essais et erreurs, par exemple avec les champignons, pour savoir s’ils sont mangeables et non mangeables il faut gouter. Les conséquences de cette action sera une forme d’apprentissage de quels sont les membres (les mangeables) et quels sont les non-membre (les non mangeables). L’apprentissage sera donc fait par la correction, par les conséquences. De plus, de cette façon il est possible de déterminer des variantes de caractéristique pour déterminer les membres et les non-membres d’une catégorie. La deuxième façon d’apprendre des catégorie à besoin de la langue et d’un témoin sachant déjà qu’est-ce que les membres d’une catégorie et qu’il peut l’apprendre aux autres, de cette façon il n’y a pas de conséquence, mais il faut dépendre de quelqu’un et de la langue.

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  9. Il s'agit là d'un sujet intéressant, d'ailleurs je me pose souvent si la perception est lié au ressentis. nous savons que la perception catégorielle est une déformation de l'espace de similarité, donc une différence de perception, en d'autres mots, la perception catégorielle est propre à chacun tout comme le ressentis. Alors est-ce que la perception catégorielle résulte du ressentis?

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  10. Nous savons que catégoriser c'est faire la bonne chose avec la bonne sorte de chose. De manière évidente il va de soi que la cognition, soit la computation, est de même état, soit une manipulation de symboles selon leur forme et leur sens tout comme la catégorisation le fait. Il est fascinant de voir que le cerveau puisse être capable de catégoriser tout ce qu'il l'entoure.

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  11. Le martien, les champignons et les réseaux de neurones.

    Ce texte met en relation deux méthodes d’apprentissage. La première méthode est l’apprentissage par essai-erreur et par le feed-back et la deuxième méthode est celle basée sur l’ouï-dire.
    Dans ce texte, l’auteur fait également référence à la perception catégorielle. Ce que j’en comprends est que la perception catégorielle est la façon dont nous pouvons percevoir des stimuli qui varient de façon continue. La perception catégorielle serait observée autant dans les catégories apprises que dans les catégories innées. Les catégories apprises sont le résultat de nos expériences et de nos interactions dans le monde, alors que les catégories innées sont des catégories que nous avons dès la naissance auquel nous avons accès dès que nous sommes exposés à ces stimuli. Ce que j’ai de la difficulté à saisir dans l’explication de la perception catégorielle est l’opération de compression / dilatation. Qu’entend-t-on par cette opération? Est-ce le fait de différencier des objets qui ont des attributs différents tout en ayant des similitudes?
    De plus, quelle est la différence entre la perception catégorielle des catégories apprises et la catégorisation?

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  12. La reconnaissance d’une orange se fait par étape. L’œil perçoit la forme et la couleur de l’objet. Ces symboles sont convertis en signaux qui se rendent jusqu’au cerveau. Le cerveau reçoit cette information, à savoir la forme et la couleur de l’objet. Le cerveau compare l’information reçue à celle qu’il a déjà en mémoire et qui est regroupée en catégories. Dès qu’il y a concordance, le cerveau reconnaît que l’objet est une orange. La question principale qui se pose est : Comment l’information a-t-elle été acquise? Pour répondre à cette question, on peut prendre l’exemple d’un parent qui enseigne à son enfant ce qu’est une orange. Le parent montre à son enfant l’orange et lui assigne verbalement le nom d’orange. L’enfant mémorise la forme, la couleur et le nom de l’orange et range cette information dans la catégorie « orange ». L’information a donc été acquise grâce aux attributs sensoriels de l’individu et au langage. Le langage est ce qui facilite la catégorisation par l’ancrage des représentations symboliques dans le cerveau. La catégorisation est le regroupement d’informations non identiques dans des catégories distinctes. Ceci facilite la reconnaissance en réduisant le temps de traitement de l’information. Plusieurs questions me viennent à la tête : Comment l’homme a-t-il pu développer un outil aussi sophistiqué que le langage? À l’ère préhistorique, les hommes n’avaient pas encore développé de langage. Leur apprentissage se faisait par essais-erreurs. Malgré l’aspect dangereux (incertain et imprévisible) de l’apprentissage par essais-erreurs, ils ont quand même pu survivre. Ainsi, le langage est-il vraiment nécessaire à la survie de l’homme d’aujourd’hui?

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  13. Je trouve intéressant le phénomène qui se produit lorsque, comme mentionné dans le texte, notre système sensorimoteur perçoit un objet comme ayant un nombre de forme infinies et une taille variable, alors que cet objet demeure pourtant physiquement inchangé. Selon cette perspective, nous ne pouvons nous considérer uniquement comme étant des organismes sensorimoteurs puisque notre interaction avec le monde va bien au-delà de nos réponses motrices à ce que nos sens captent. Lorsque nous analysons le mouvement d’un ballon qui s’éloigne, nous privilégions la connaissance préalable que nous avons affirmant que la taille d’un ballon demeure fixe (dans des conditions normales), plutôt que celle qui nous est apportée par nos sens pouvant nous faire croire que la taille d’un ballon peut diminuer dans les mêmes conditions. Il y a donc, dans le processus de notre perception sensible, un traitement qui se fait par la cognition et qui fait prévaloir certains apprentissages sur les données perçues par les sens.

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  14. Comme l’exprime le texte Le martien, les champignons et les réseaux de neurones, il y a effectivement dans l’apprentissage quelque chose qui va au-delà de nos capacités sensorimotrices puisqu’il nous est possible d’utiliser des informations nous ayant été transmises à propos d’un certain objet sans pour autant avoir été sensiblement en contact avec cet objet. De ce fait, le langage possède une force incroyable parce qu’il peut générer les mêmes effets qui auraient été engendrés par une exposition sensorielle (ex. : La douleur ressentie par une piqûre de guêpe) par une utilisation adéquate de symboles. Ainsi, une personne ne s’étant jamais faite piquer par une guêpe, mais qui aura appris que de telles piqûre sont douloureuses aura, en présence de l’insecte, la même réaction qu’une personne s’étant faite piquer par une guêpe, soit celle d’éviter de se faire piquer. Il y aura donc, grâce à l’apprentissage tirée du langage, une réponse motrice (fuite, évitement) sans qu’il n’y ait eu de perception sensible.

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  15. L’apprentissage d’une catégorie permet d’identifier, de reconnaître et de quantifier, à mesure que sont ajoutées des nouvelles informations, ses membres et ses non-membres. Or, on sait en psychologie sociale combien le ressenti physique peut moduler les choix effectués par les gens. Le ressenti physique apporte donc une information supplémentaire à l’individu pour l’amener à faire un choix éclairé. De plus, le ressenti psychologique pourrait créer des différences individuelles importantes entre les sens qui peuvent être donnés au même référent par deux personnes différentes. Plus loin encore, le ressenti « métaphorique » d’une personne qui, tenant un café chaud entre ses mains, aurait tendance à évaluer les personnes qu’elle rencontre comme davantage chaleureuses qu’une personne qui tiendrait un café froid entre ses mains, pousse la réflexion un niveau plus loin. Ce qui deviendra membre d’une catégorie qu’elle pourrait nommer par exemple « chaleureux » sera différent de la personne qui tiendrait un café froid. Ainsi, ma question va dans ce sens : les capacités d’abstractions de l’humain, à plusieurs niveaux, sont-elles reproductibles par une machine T3? Cette dernière pourrait lier des symboles à leur référent, nous laissant présumer qu’elle a le ressenti. Mais ce ressenti pourrait-il avoir un niveau d’abstraction aussi élevé que l’homme? Autrement dit, est-ce qu’une machine T3 dans les mains (synthétiques) de laquelle on aurait placé un café chaud aurait tendance à distribuer les éléments de l’environnement à travers ses catégories de manière différente que si elle tenait un café froid?
    Si non, est-ce que ce test pourrait se révéler sensible à la différence entre l’humain et la machine qui ressent?

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  16. Dans le texte `Le martien,les champignons et les réseaux neurones, après l'exposé des deux méthodes d'acquisition de connaissances, soit par essai et erreur et les connaissance partager avec nos pères par le langage orale, ici il faut souligner l'abord du langage dans la survie humaine comparé au autres espèces sans langage évolué.
    Ce que je dirais au frère cadet, dans la vie il y a deux méthodes d'apprentissage, la première, à la dure, les expériences personnelles, exemple si tu veut savoir si un champignon est bon et comestible, tu le goutte, bon gout tu le mange, mauvais tu le jette et tu recommence avec un autre, attention tu pourrais en manger un mortel, donc si tu utilise la deuxième méthodes et que tu demande a une autre personne qui as déjà manger des champignons pour savoir rapidement ceux qui sont bons, tu te facilite la taches et évite bien des désagréments. Imagine maintenant si tu ne pouvais pas parler, il y a de forte chance en essayant plusieurs champignons que l'expérience pourrais mal tourné, tu pourrais avoir des malaises ou malheureusement en mourir.
    Cette expérience, nous montre l'importance du langage, la puissance comme dirait le professeur, qui combiné avec nos autres sens, son le fondement de toutes nos acquisitions, que nous ajoutons a ceux que nous avons déjà en les catégorisant, en les combinant pour en créer des nouvelles.
    En terminant, je dirais a mon frères, ce qui nous différencie les humains des autres espèces c'est surement le langage qui nous permet de communiquer symboliquement en parole et dans plus large éventail que toutes les autres espèces, ce qui nous place en meilleur position de survie et d'évolution.

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  17. Pour définir la catégorisation, elle se dit de faire la bonne chose avec les bonnes affaires. Le processus de décision se facilite grace au stimuli entrepris d'une certaine situation (provenant d'être avec la capacité sensori-moteur). Puisque la catégorisation permet la réduction de l'incertitude, nous pouvons en conclure qu'il y a un lien entre la catégorisation et l'information. Le défi de la catégorisation est simple et compliqué; comment le cerveau fait pour agencer ces catégories. Pour Fodor, cette capacité mentale est inné. Ce qui vient contredire Fodor est la capacité de catégoriser les éléments sans nommer la règles utilisée. Je pense qu'une reformulation de ce que Fodor a dit serai plus juste; le mécanisme de la catégorisation est inné et non la capacité mentale.

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  18. Comme vu en classe la Catégorisation c'est le choix de faire la bonne chose avec la bonne sorte de chose, une table c'est une catégorisation, la continuité n'est pas une catégorisation, tout ce qui n'est pas dynamique (ex sport )ou autre n'est pas de la catégorisation( ex: natation),quand on discrétiser un action continue ça peut être de la catégorisation. La catégorisation peut être apprise par essai et erreur . Alors que la perception catégorielle est innée , nous naissons avec.

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  19. Dans le texte le martien, les champignons et les réseaux de neurones ,il y a 2 méthodes d’apprentissage de la connaissance .La première est celle des expériences personnelles c’est à dire ,à force de tester tu apprend ce qui est bon pour toi et ce qui est mauvais. La deuxième méthodes est celle des expériences partagés, c’est à dire de demander à quelqu’un qui a déjà eu cette expérience des informations ,cette deuxième méthode passe par l’utilisation du langage. Par-là ,Je comprends que l’apprentissage par le langage va beaucoup plus loin que notre système sensorimoteur car ,grâce à celui-ci on peut utiliser des informations sur un objet qui nous on était apprise par nos proches ou d’autres et ainsi avoir de l’information sur un objet ,sans forcément avoir était en contact avec l’objet en questions. Pour finir je me rend compte que le langage nous évite plusieurs désagréments qui pourrai nous arriver dans la vie de tous les jours. Aussi c’est aussi le langage qui vient nous différencier des autres espèces et c’est garce a celui-ci que nous avons réussi à survivre et à évoluer durant toutes ces années.

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  20. À la suite de la lecture de 'to cognize is to catégorize' et du cours de la semaine 6, nous pouvons dire que nous sommes des êtres qui interagissent grâce à nos capteurs sensorimoteurs. Ce qui signifie que les interactions se font au contact de nos sens. Donc une personne à qui il lui manque un sens comme l’ouïe n’aura pas la même interaction avec l’objet qu’une personne ayant tous ses sens. La catégorisation réagit au genre de chacune des catégories. En catégorisation il y a un problème qui est comment nos capteurs arrivent-ils à différencier les différents types de catégories. En catégorisation il y a des catégorie inné et acquis. Un exemple d’une appris est la perception catégorielle. Elle distingue précisément les limites précises. Tout d’abord, nous pourrons voir que sans elle nous ne pourrions pas voir le spectre des couleurs. Ceci signifie que nous ne pourrions différencier précisément les limites. Par exemple, nous n’apprenons pas la différence ainsi nous ne pourrions voir la différence entre le bleu et le rouge.

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